Mardi matin, après deux heures de marche, nous montons la tente sur une pelouse accueillante près d'une petite rivière, vers 3300 m d'altitude.
La tente (petit point vert à gauche) au bord de la rivière et les chevaux |
Nous déposons l'essentiel de notre chargement sous la toile puis nous partons en reconnaissance allégés.
Lorsque nous redescendons du col dans l'après-midi, nous remarquons de loin que notre tente a une drôle d'allure "aplatie".
La tente détruite |
Les empreintes laissées par le coupable ne laissent aucun doute : une jument a tout simplement traversé la tente en marchant dessus ! La tente est inutilisable.
L'abri de chasseur providentiel |
Le lendemain, obligation de redescendre toute la vallée pour regagner Bichkek en taxi en fin de journée.
1 commentaire:
le chapeau n'a pas de pot!!!!
Heureusement que la cabane est toujours à portée de pas!!
Marc
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